mardi 20 octobre 2009

Évolution du tourisme en ligne: Tendances du marché de la France

Paru le 19 octobre 2009 dans le Journal du Net, voici un bref résumé des tendances en matière de tourisme en ligne pour le marché de la France. Rappelons que l’e-tourisme représente, pour la France uniquement, 4,2 milliards d’Euros.

En 2009, 91% des voyageurs s’informent sur Internet avant d’aller visiter une agence. Il s’agit d’une augmentation de 9 % par rapport à 2007.

Les supports papiers (brochures, catalogues et autres) ont pour leurs parts connus une diminution de 12 % en deux ans pour l’information pré-achat.

Les parents et amis demeurent une référence de choix tout au long du processus d’achat puisque ceux-ci représentent 57 % en mode pré-achat et 68 % en mode décision de destinations.

Comme tous le savent, l’arrivée d’Internet a modifié la vente de produits. Entre 2007et 2009, il est possible de noter une évolution important pour les prestations suivantes :

9 % de plus pour l’achat de vols secs
27 % de plus pour l’achat de chambres secs
25 % de plus pour la location de voitures en ligne

La France compte 22 millions d’e-acheteurs, soit une augmentation de 13 % par rapport à 2007. De ces 22 millions, 17 millions ont réservé une prestation de voyage en ligne.

Les principales sources d’informations pour la sélection de vacances n’ont pas beaucoup évolué.
68 % se fient aux parents et amis
36 % à la télévision
34% aux guides touristiques

Pour connaître les sources et les diverses études qui ont permis d’élaborés ce rapport, visitez le

lundi 19 octobre 2009

Quand l'ADN devient un motif de voyage

Selon Le Parisien entre 10 000 et 20 000 Français commandent un test d'ADN à l'étranger chaque année. Ces tests encore interdits dans ce pays se pratiquent cependant dans les pays voisins.

Des laboratoires situés en Suisse facturent au minimum 1 400 francs pour le test. De plus, les clients doivent réaliser eux-même le test, c'est-à-dire prélever un petit bout de peau morte à l'intérieur de la bouche et l'envoyer par la suite au laboratoire.

En France, la loi interdit encore de consulter librement un tel laboratoire. L'infraction peut coûter très cher soit jusqu'à 15 mois de prison et 15 000 euros d'amende.

mardi 13 octobre 2009

Le slow tourisme, partir ou rester chez soi



Au cours des dernières années, les demandes des touristes se sont modifiées. Notamment grâce à la sensibilisation des gens face à leur environnement. Qui dit modification des habitudes, dit création d'un nouveau créneau de clientèle. En tourisme, ces modifications ont donné naissance au tourisme lent.


Fondé sur le mouvement slow food, le slow tourisme permet de découvrir un territoire à son propre rythme. De s'imprégner des lieux, de la culture tout en minimisant les effets du Co2 sur l'environnement.


Auparavant, les visiteurs voulaient voir un maximum de choses en un minimum de temps ce que leurs permettaient les voyages de groupe en autocar. En contrariété à ce créneau de visiteurs, les amateurs de slow tourisme veulent effectuer des voyages plus authentiques tout en respectant l'environnement et les communautés.


Les amateurs du slow tourisme ne se contentent pas seulement de miser sur des voyages à faible émission. Là où le bât blesse c'est que les plus fervents amateurs de slow tourisme tendent à demeurer chez soi ou visiter leur propre région à vélo ou à pied pour sauver l'environnement. Ce mouvement donne donc lieux aux fameuses staycations.


En conclusion, les amateurs de slow tourisme choisissent des moyens de transport qui ont une influence faible sur l'environnement, la marche, le vélo ou le train en sont de bons exemples. Ceux-ci ont pour but de s'immerger dans le lieu visité afin de mieux comprendre la culture locale. Ce mouvement vacancier peut-être associé à l'écotourisme ou à la nouvelle tendance de demeurer chez soi pendant les vacances (staycation).



Pour connaître davantage le mouvement slow tourisme, vous pouvez aussi lire l'article suivant dans le cahier Espaces:

Ghislaine Dubois, Consultant - TEC-conseil, Le slow tourisme.